« Une vie de chat » et « Phantom Boy » à Poitiers
« Paris et New-York sont aussi irréalistes l’une que l’autre. Les deux villes ne sont que des versions rêvées, comme si elles avaient été recréées dans le studio. La plus grande différence est le nombre de fenêtres. Après en avoir dessiné des centaines, Jean-Loup appelle New-York, « la ville des fenêtres ».Alain Gagnol, extrait d’un interview sur Filmmaker-magazine Projection-conférence…
