« Phantom Boy » de Jean-Loup Felicioli et Alain Gagnol

Projection-conférence :
Cinéma Le Florida à Saint Savien
Mercredi 20 septembre 2017
Au CIBDI à Angoulême
Mercredi 4 octobre 2017
Au TAP Castille à Poitiers
Mercredi 17 janvier 2018

Documents accompagnant la conférence : pour aller plus loinles personnages

Comme si je planais dans l’air qui me réclame,
Et comme si j’avais une âme
Faite avec des plumes d’oiseau…
La fin de Satan de Victor Hugo, 1886

Schwizgebel
Le vol d’Icare de Georges Schwizgebel, 1974
Icare
Icare de Michel Ocelot, 1989
Histoire_tragiques_2
Histoire tragique avec fin heureuse de Regina Pessoa, 2005 

Le personnage de Superman résonne en chacun de nous parce qu’il est une fusion de toutes les histoires que nous aimons depuis 50000 ans. C’est Moïse, Hercule, Icare et Jésus enveloppés dans un drapeau américain. »                    Mark Millard (scénariste)

Superman de Max et Dave Fleischer, 1941-1943
Superman de Max et Dave Fleischer, 1941-1943

Pourquoi j’aime Batman ? Parce que justement, il n’est pas Superman. Pour moi, il est vraiment un héros moderne, il a des problèmes, il fait des trucs déments, cependant il est humain. Comme un héros moderne, il a des tas de gadgets, mais qui peuvent exploser à tout moment. J’adore l’idée que ce magnifique Batplane puisse être descendu d’un seul coup de révolver car ça le rapproche de la réalité. Batman est aussi un personnage absurde. Un type qui éprouve le besoin de se déguiser en chauve-souris est forcément un peu cinglé.                                                                                                       Tim Burton

Batman : The Animated Series de Bruce Timm et Eric Radomski, 1992-1995
Batman : The Animated Series de Bruce Timm et Eric Radomski, 1992-1995

Spider-Man est sans doute le moins extravagant des super-héros. Il n’est pas invulnérable comme Superman. Il n’est pas sombre et vengeur comme Batman. C’est un personnage qui voudrait être normal, qui a des angoisses, qui se cherche une petite amie. Il est rongé par le doute et le remord. Il culpabilise d’avoir, par orgueil, laissé s’échapper le gangster qui va plus tard assassiner son oncle Ben. Il a été élevé par sa tante May. Il a besoin d’une voix rassurante pour calmer ses angoisses existentielles.                Harry Brod (sociologue)

Spider-Man de Stan Lee et Steve Ditko, 1967-70
Spider-Man produit par Hanna-Barbera, chaîne ABC, 1967

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